Le travail du son y est essentiel, les sonorités électroniques sont travaillées pour être spatialisées, et traitées avec le soin porté aux œuvres électro-acoustiques.
 

Des samples de pas dans la neige, de glaciers, d’eau fondant viennent enrober les transitions entre les histoires et envelopper les spectateurs.

Pour soutenir ce travail autour du son, des vidéos sont projetées derrières les musiciennes, pour aider à rendre le son visible, juste assez présentes pour accompagner les morceaux et éveiller la curiosité.

La langue des signes traverse le spectacle, accompagnant gestuellement des contes, et une chanson lui est dédiée.
Elle est utilisée comme une main tendue vers certains publics, et pour ce qu’elle a de sensible et universelle. Elle aussi contribue à rendre le son visible.